À propos du The Expanse en quelques mots:

 » The Expanse  » est une série de science-fiction captivante basée sur la série de livres du même nom de James S.A. Corey. Située dans un futur où l’humanité a colonisé le système solaire, la série suit un groupe diversifié de personnages alors qu’ils naviguent entre conflits politiques, tensions interplanétaires et la découverte d’une mystérieuse protomolécule extraterrestre. Avec sa construction de monde riche, ses personnages complexes et son exploration stimulante des questions sociales, politiques et éthiques,  » The Expanse  » a acquis une base de fans dévouée. La série combine habilement des éléments d’opéra spatial, de drame politique et de science-fiction dure, en faisant un incontournable pour les fans du genre.

Découvrez les personnages de The Expanse

James Holden

James, omg, le héros malgré lui — toujours à parler, à débattre, tu vois le genre: idéaliste jusqu’au bout des ongles et parfois d’une naïveté qui fait grincer des dents. Chef improvisé du Rocinante, il a un compas moral qui clignote en permanence (et bon sang il pédale parfois dans la semoule). Il adore les grandes déclarations publiques mais déteste qu’on lui dise « héros » — contradiction parfaite. Et oui, il garde probablement un vieux pull troué qui sent la café froid, j’en suis sûre.

Alex Kamal

Alex c’est le pilote zen avec un sourire de mec qui a vu trop d’étoiles — mécanique dans le sang, musicien du cockpit (il fredonne, il écoute de la country spatiale, parfois il invente des paroles). Calme sous pression, un peu âme de poète aussi — oui, je l’ai dit — mais surtout un type loyal à la loyauté. Il bricole, il répare et il raconte des anecdotes de Mars qui te font rire et pleurer en même temps (parfois il exagère, mais on l’aime pour ça). Et il a ce petit côté « j’ai trop mangé » qui le rend humain, vraiment.

Naomi Nagata

Naomi, la reine des ingénieurs et des mystères, talent incroyable, froide quand elle doit l’être, bouillante quand ça touche sa famille. Elle a ce passé Belter lourd qui la rend têtue, stratégique et presque toujours deux coups d’avance — et pourtant parfois elle s’effondre en silence comme si personne ne devait la voir. Elle construit des moteurs et des plans de fuite et elle chante des vieilles chansons de la Ceinture en faisant la vaisselle (vraiment, je l’imagine). Parfois stoïque, parfois explosive, souvent magnifique, et sûrement trop fidèle pour son propre bien.

Amos Burton

Amos c’est la brute tendre, direct, sans filtre et tellement… pratique. Il a des règles simples et efficaces (et parfois terrifiantes), il aime les choses qui fonctionnent et il déteste l’hypocrisie — mais attention, il cache une tendresse bizarre pour les gamins et les plantes, si si. On ne le comprend pas toujours, il a un passé flippant, il frappe quand il faut frapper, et il peut aussi pleurer dans une cuisine vide, c’est contradictoire et incroyable. S’il a un hobby? Probablement casser des trucs puis réparer un sandwich parfait.

Chrisjen Avasarala

Avasarala, la femme qui fait plier les planètes (ok exagération, mais presque) — acérée, brillante, politique jusqu’au bout des ongles et surtout: elle manie les mots comme des couteaux. Elle est drôle, méchante parfois, d’une efficacité froide, et elle sait quand sourire pour mieux t’entraîner dans sa toile (attention). Son costume flamboyant cache une stratège implacable et un côté presque maternel pour ceux qu’elle juge intéressants (ou utiles). Elle boit du thé ou je sais pas quoi, j’ai l’image d’elle avec des grosses longues perles et une phrase qui vous tue en trois mots.

Bobbie Draper

Bobbie, la Martienne super soldat avec un cœur énorme et une main prête à te mettre KO si nécessaire — elle est loyale, droite et parfois inexplicablement douce. Guerrière disciplinée, elle remet en question l’autorité quand il le faut et découvre la nuance à force d’aventures (elle apprend, et vite). Elle adore les blagues nulles et peut fondre devant un chiot géant, oui c’est contradictoire mais tellement vrai. Et, petit détail: elle collectionne peut-être des cartes postales ou lit des romans à l’eau de rose en cachette — qui sait?