À propos du Spider-Man: No Way Home en quelques mots:

Spider-Man: No Way Home est un prochain film de super-héros de l’Univers cinématographique Marvel, réalisé par Jon Watts et produit par Kevin Feige. C’est le troisième film de la franchise Spider-Man et met en vedette Tom Holland dans le rôle de Peter Parker/Spider-Man, aux côtés d’un casting de stars comprenant Zendaya, Jacob Batalon et Benedict Cumberbatch dans le rôle de Doctor Strange. Le film suit Peter Parker alors qu’il essaie de corriger une erreur qui conduit à l’ouverture du multivers, faisant entrer des visages familiers des précédents films Spider-Man. Le film devrait sortir le 17 décembre 2021.

Rencontrez les personnages de Spider-Man: No Way Home

Peter Parker

Peter, c’est ce mélange hyper nerveux d’ado et de héros qui te donne envie de le protéger et de le pousser à faire ses devoirs en même temps. Toujours en train de bafouiller, il est pourtant terriblement débrouillard quand il s’agit de sauver la mise — et oui, il parle trop (toujours trop). Il adore la science, collectionne des gadgets improbables et, je jure, il a un t-shirt fendu quelque part qu’il refuse de jeter parce qu’il “a de la valeur sentimentale”. Parfois il est sérieux, puis il lâche une blague nullement opportune, et ça le rend encore plus attachant.

MJ

MJ est secouante, directe et carrément magnétique; elle a ce regard qui lestrit le monde entier, tu vois le genre. Elle est drôle sans faire exprès, assez mordante, mais partage aussi des moments de vulnérabilité qui te prennent par surprise. Elle aime la normalité (ou dit l’aimer) mais se faufile dans le chaos avec une élégance qui déconcerte; parfois elle boude, parfois elle mène la rébellion, bref, imprévisible. Et puis elle cuisine mal — non, attends, elle cuisine bien? Bref, pour moi, elle a des playlists secrètes et un sens de l’humour tordu.

Doctor Strange

Strange est dramatique, brillant, un peu vaniteux mais d’une loyauté surprenante dès que ça compte vraiment. Il jongle avec des dimensions comme d’autres changerait de montre, et son ego est presque une entité à part entière — sa cape a plus de personnalité que certains personnages secondaires, sérieusement. Il peut être condescendant (souvent), mais il est aussi incroyablement déterminé à réparer ses erreurs, même si ça implique des solutions… créatives. Et oui, il est capable d’un soupir exaspéré digne d’un professeur, mais il pleurerait sur un vieux souvenir (probablement en cachette).

Ned Leeds

Ned est l’ami parfait que tout le monde voudrait: loyal, excité pour tout, un peu collant (amour fraternel, ok?), et il connaît tous les easter eggs du multivers — parfois il en dit trop et puis s’excuse pendant trois minutes. Il est le cœur comique mais pas seulement: il a un courage fou quand il faut, et une imagination débordante (parfois délirante). Il se prend pour un techno-hacker chevronné, mais je parie qu’il panique quand il doit brancher une imprimante, haha. Et je te parie qu’il garde des petits souvenirs ridicules dans sa poche, genre des tickets de cinéma froissés.

Happy Hogan

Happy, c’est la figure paternelle à la fois râleuse et terriblement douce—il grogne, mais il veille comme personne. Il a ce côté durement pragmatique, toujours prêt à remettre les pieds sur terre, mais dès qu’un proche est en danger il fonce sans réfléchir. Il a un humour sec, presque militaire, mais je suis convaincu qu’il se tient un journal intime où il écrit des poèmes ridicules sur la mécanique (ne l’avoue jamais). Parfois il est un peu dépassé par la technologie moderne (les textos, vraiment), mais il te ferait un café parfait, attention aux tasses.

Norman Osborn

Norman est charmant, calculateur et profondément instable — il te sourit comme s’il négociait un contrat avec le monde entier, et ensuite paf, il explose, littéralement. Il a ce côté père de famille qui peut sembler attendrissant, mais ça cache une obsession et une rage qui bouillonnent; on sent qu’il se déteste parfois. Il aime le pouvoir, les belles cravates (j’ai dans la tête une collection de cravates un peu trop chère), et il dit des choses séduisantes avant de perdre complètement le contrôle. Parfois il est brillant avec des idées géniales, parfois il se transforme en un cauchemar ambulant — un peu tragique, un peu terrifiant.

Dr. Otto Octavius

Otto, c’est le génie tourmenté, les bras mécaniques sont un peu sa deuxième personnalité (ne lui appelles pas ça des “robots”, il râlerait). Il travaille avec une concentration obsessionnelle, fait des blagues pince-sans-rire, et il aime la musique classique mais l’écoute souvent trop fort (ou trop faux, je sais plus). Il peut être étonnamment tendre dans les rares moments où il lâche prise, mais quand il replonge dans son obsession, c’est dur de le reconnaître. Et oui, il a probablement un carnet où il dessine des schémas et des chats — pourquoi pas les deux?

Wong

Wong est le calme en personne, carré, supérieur en organisation et clairement l’âme du bouquin poussiéreux qui te sauve la vie (littéralement). Il est strict avec les règles, mais je jure qu’il a un sens de l’humour sec et des petits plaisirs coupables (thé à la menthe? biscuits? je sais plus). Il sait faire des choses magiques comme s’il lisait une recette de cuisine — précis, patient, légèrement sarcastique quand il est dérangé. Et il garde tout sous contrôle, même si parfois il lève un sourcil comme s’il avait mille histoires cachées derrière ses lunettes.