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Quel personnage des ‘Thunderbolts’ êtes-vous ?

Bienvenue dans votre aventure de correspondance de personnalité ! Vous êtes sur le point de plonger dans les ombres des héros brisés et des agendas cachés et de découvrir quel anti-héros inadapté vous êtes secrètement. Prenez votre cape (ou votre ambiguïté morale), penchez-vous en avant et découvrez si vous êtes le combattant aguerri, le joker mystérieux, ou le maître manipulateur. Il est temps de trouver votre place dans ce groupe hétéroclite.

Bienvenue au quizz: Quel personnage des Thunderbolts êtes-vous ?

À propos du Thunderbolts en quelques mots:

Ce nouveau film de 2025 réunit l’équipe d’anti-héros la plus réticente de Marvel, entraînée dans une mission qui met à l’épreuve leurs regrets, leurs loyautés et leurs sombres passés. Yelena Belova, Bucky Barnes, John Walker, Robert Reynolds, Alexei Shostakov et Valentina de Fontaine se retrouvent piégés dans un complot visant à les détruire — et forcés de survivre ensemble ou de mourir divisés. Attendez-vous à des drames familiaux, des trahisons, des arcs de rédemption et un tourbillon d’action et d’émotion.

Découvrez les personnages de Thunderbolts

Yelena Belova

Yelena, oh là là, quelle tornade — espionne hyper efficace avec un sens de l’humour très noir et une rancune tenace, mais qui peut fondre en larmes devant un film niais, oui oui. Elle est sans pitié au combat, ultra stratégique, mais parfois incroyablement maladroite dans les relations humaines (et elle nie tout, évidemment). J’adore qu’elle donne l’impression de tout contrôler alors qu’en fait elle panique en secret, ou peut-être pas, qui sait ? Elle collectionne des gadgets, des faux passeports et apparemment des tasses à café bizarres — ou alors c’est juste une tasse, bref.

Bucky Barnes

Bucky est le type torturé mais terriblement fidèle, l’ami qu’on ne mérite pas mais qu’on veut toujours à ses côtés — il a cette armure métallique froide qui cache un cœur super compliqué. Il est ultra discret, stoïque la plupart du temps, puis bam, il peut éclater en colère ou en gentillesse totale (oui, contradictions acceptées). Ancien super-soldat, ancien assassin, toujours en rédemption, on sent qu’il porte tout sur ses épaules et aussi une playlist nostalgique — parfois des années 40, parfois du rock, c’est flou. Il sauve des gens et se sabote à la fois, ce qui est tragique mais aussi… fascinant.

Valentina Allegra de Fontaine

Valentina c’est l’énigme chic et manipulatrice, elle parle bas, sourit trop, porte des costumes incroyables et a l’air d’avoir toujours un plan trois pas d’avance (ou pas, elle improvise souvent, je jure). Elle a ce charme toxique et ce talent pour vendre des cauchemars en pots, genre « ça va mieux après » alors que non, ça empire — mais élégamment. Elle est mystérieuse, peut-être chef d’orchestre, peut-être marionnettiste, et toujours trop bonne en psychologie inversée, ou alors elle lit trop de romans d’espionnage, difficile à dire. Et petit détail inutile : elle adore les chapeaux, ou alors déteste les chapeaux, c’est selon l’humeur du jour.

Robert Reynolds

Robert, aka le Sentry, c’est la puissance cosmique empaquetée dans un type un peu perdu — genre « je peux détruire des planètes mais j’oublie où j’ai mis mes clés ». Il oscille entre messie héroïque et danger imminent, on ne sait jamais si on applaudit ou si on se cache derrière le canapé, vraiment. Il est doux, fragile, terriblement puissant, avec des trous de mémoire dramatiques et parfois une envie irrésistible de lire des poèmes (vrai ou faux souvenir ?). Il est à la fois sauveur et menace, ce mélange rend chaque scène avec lui un peu combustible et un peu triste, mais tellement fascinant.

Alexei Shostakov

Alexei, le Red Guardian, c’est la figure paternelle brute et adorable à la fois — un colosse soviétique qui boit du thé fort, mange de la bortsch comme si c’était du gâteau, et te met une gifle affectueuse quand tu t’y attends le moins. Il est un peu maladroit socialement, très fier, mais surtout incroyablement loyal (et souvent drôle sans le vouloir). Il raconte des histoires de guerre interminables que personne ne comprend totalement, puis se met à chanter une vieille chanson populaire au milieu d’une réunion stratégique, donc oui, surprenant. Il est chaleureux, balaise, et parfois sentimental à faire pleurer, même s’il prétend que non, que c’est juste un coup de vent.

John Walker

John Walker est l’exemple parfait du patriote qui veut trop bien faire — carré, rageur, compétitif, il veut mériter sa place à la force du poignet et finit souvent par foncer tête baissée. Il a ce sens du devoir hyper strict mais aussi des moments où il explose de frustration, on le comprend et on le craint en même temps. Parfois héroïque, parfois tragiquement impulsif, il prend des décisions bêtes mais parfois c’est parce qu’il est blessé (ou juste un peu têtu, beaucoup en fait). Et anecdote douteuse : il prête parfois des clés qu’il n’a pas, ou alors c’est son ego qui les prête, bref, compliqué mais passionnant.