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Quel personnage de ‘Fate/Grand Order’ es-tu ?

Êtes-vous fan de Fate/Grand Order ? Avez-vous déjà imaginé quel personnage vous seriez si vous étiez transporté dans le jeu ? Eh bien, ne vous demandez plus ! Faites notre quiz de personnage Fate/Grand Order et découvrez quel serviteur vous invoqueriez. Serez-vous un guerrier héroïque comme Artoria Pendragon ou un assassin rusé comme Hassan-i Sabbah ? Faites défiler vers le bas et cliquez sur le bouton Démarrer pour commencer votre aventure et découvrir votre véritable destin !

Bienvenue au quizz: Quel personnage de Fate/Grand Order es-tu ?

À propos du Fate/Grand Order en quelques mots:

Fate/Grand Order est un jeu mobile populaire qui se déroule dans un univers alternatif où des figures historiques et mythologiques célèbres sont invoquées en tant que « serviteurs » pour combattre pour leurs maîtres dans une quête du Saint Graal. Les joueurs endossent le rôle de « maître » et collectent et font monter en niveau ces serviteurs pour combattre des ennemis puissants et explorer différents chronologies. Avec une histoire complexe et une lore profonde, Fate/Grand Order est devenu une franchise aimée avec une base de fans dévouée.

Rencontrez les personnages de Fate/Grand Order

Artoria Pendragon

Artoria, c’est la reine stoïque qui te donne envie de la suivre au combat en criant des choses nobles, même si elle te regardera avec ce petit air sévère genre « vraiment ». L’épée, l’honneur, le code — tout est organisé dans sa tête comme un plan militaire (et pourtant elle peut être ridiculement gourmande parfois, oui vraiment, elle aime les pommes? enfin je crois). Elle a ce côté chevalier parfait mais aussi des moments d’ado confuse qui te font penser qu’elle n’a pas dormi depuis trois siècles. Parfois elle est incroyablement sérieuse et la seconde d’après elle tente un sourire maladroit, c’est adorable. Bref, leader naturel, super fière, parfois maladroite, et toujours prête à défendre ce qu’elle a juré de protéger.

Ishtar

Ishtar débarque avec un charisme divin et une fierté un peu insolente, genre « je suis une déesse, tu peux applaudir », mais elle adore aussi les fringues modernes — et parfois les jeux vidéo, je jure que je l’imagine ragequitter un RPG. Elle est explosive, romantique à sa façon, très protectrice avec ceux qu’elle considère intéressants (ou amusants), tout en étant terriblement capricieuse. Paradoxalement elle déteste les humains parfois, et la minute suivante elle les couve comme un chat qui a mangé trop de crème. Son humour est piquant, son style est glamour, et elle a une barbe de lumière dans la tête — ok non, pas de barbe mais vous voyez le genre.

Miyamoto Musashi

Musashi c’est le vagabond philosophe qui veut toujours s’améliorer, avec ses deux épées et son regard de « je t’ai déjà lu », mais attention il peut aussi te surprendre en chantant dans une auberge. Elle est calme, méthodique, et obsédée par la maîtrise — pas juste du sabre, aussi de la vie (oui, sérieux). Parfois elle est presque zen et l’instant d’après elle te propose un duel improvisé pour tester une théorie — vive la contradiction. Elle parle en proverbes étranges, possède dix mille carnets de notes et probablement un chat qu’elle n’admettra jamais aimer.

Okita Souji

Okita est la parfaite lame jeune et pétillante qui te sourit avant de te couper en deux — mais genre doucement, avec un petit bonbon offert après, c’est dérangeant et génial à la fois. Elle a une énergie contagieuse, adore les sucreries (dango forever) et est étonnamment taquine même si elle est mortellement efficace au combat. Parfois elle est fleur bleue, parfois elle devient froide comme la lame d’un rasoir, ce qui rend tout le monde nerveux — moi la première. Elle dit toujours qu’elle est « juste là » mais en fait elle est toujours au centre de l’attention, sans même essayer.

Scathach

Scathach, la reine des guerriers, c’est un mystère ambulant avec une lance qui te cloue au sol (au sens figuré, sauf si tu lui cherches vraiment des noises). Elle a une aura de professeur sévère — froide, impitoyable — mais en secret elle pourrait raconter des histoires en cousant des mitaines, qui sait. Elle maîtrise la mort comme d’autres maîtrisent le thé, et pourtant elle a des petites habitudes étrangement douces, genre elle aime broyer des pierres… ou est-ce des bonbons? Bref, elle est à la fois mentor et mythe vivant, intimidante et étrangement protectrice pour ses élèves.

Jeanne Alter

Jeanne Alter, OMG, c’est la version « si Jeanne avait bu trois cafés et décidé de tout casser », rage pure et esthétique gothique, mais attention y a parfois un petit drôle de sourire qui trahit un cœur encore humain. Elle est vengeresse, sarcastique, et tellement théâtrale que même une tempête ferait une pause pour regarder sa performance. Paradoxalement, elle peut se montrer tendre avec des petites choses (comme un chat imaginaire ou un toast brûlé), ce qui est à la fois incongru et flippant. Elle porte la colère comme on porte une cape rouge: stylée, lourde et un peu dramatique.

Ushiwakamaru

Ushiwakamaru est pleine d’énergie, tournée vers la mobilité, les courses et les blagues légères — si elle était un sport ce serait la course en sabots, évidemment. Elle a ce mélange adorable de sérieux guerrier et de gamine espiègle, toujours prête à convaincre tout le monde de partir à l’aventure (ou d’organiser une fête surprise pour personne en particulier). Elle est loyale, rapide, et étonnamment stratégique, même si parfois elle oublie si elle a laissé le cheval attaché. Elle collectionne les rubans? Peut-être. Elle donne envie de l’accompagner dans n’importe quelle escapade, même si tu risques de finir essoufflé.

Tamamo-no-Mae

Tamamo, la renarde ensorceleuse qui fait du thé comme personne et qui envoie des SMS affectueux à tout le monde (elle a probablement un groupe de chat avec des esprits), est à la fois adorable et légèrement calculatrice. Elle adore les bains chauds, les onigiri bien faits et affirmer qu’elle « se repose juste cinq minutes » — attention, ces cinq minutes peuvent durer des siècles. C’est une logique mignonne-menteuse: elle te cajole, te soigne, et te manipule un peu pour te garder près d’elle, tout en récitant des poèmes ridiculement bons. Parfois elle parle comme une vieille dame, parfois comme une idole pop, c’est complètement incohérent mais charmant.

Nero Claudius

Nero, c’est le feu, le spectacle et la fierté incarnés — genre « je suis une impératrice et vous allez m’applaudir » — avec une passion pour l’art qui te frappe fort. Elle adore les spectacles, la poésie, le théâtre (et manger des gâteaux au milieu d’un discours sérieux, oui c’est canon). Malgré son côté diva, elle est profondément sincère et étonnamment humaine dans ses petites insécurités — elle veut être aimée et comprise, mais avec beaucoup de panache. Elle est théâtrale, généreuse, parfois enfantine, et étonnamment bonne en gestion des programmes culturels romains (ou était-ce des costumes?).

Nightingale

Nightingale est la version « infirmière terrifiante mais trop dévouée » — elle te soignera et en même temps tu auras l’impression qu’elle pourrait disserter sur la douleur éternelle pour le plaisir. Elle mélange un zèle médical presque comique avec une empathie sincère et parfois inquiétante; elle sourit en administrant des remèdes et ça fout un peu les chocottes, honnêtement. Elle aime les peluches et porte des instruments médicaux comme d’autres portent des bijoux, et parfois elle raconte des histoires de guerre comme si c’était des contes au coin du feu. En résumé: dévouée, efficace, légèrement macabre et totalement mémorable.

Minamoto-no-Raikou

Raikou, c’est la matriarche puissante, grande gueule et… un peu ivre sur les bords (elle aime le saké, ok), mais elle te terrifie et te rassure en même temps. Elle est fière, protectrice, et possède ce talent de transformer n’importe quelle réunion en un festin épique — souvent bruyant, toujours authentique. Malgré son tempérament de feu, elle a une tendresse bizarre pour les enfants et les bêtes, genre protège-les comme si c’était sa propre famille de démons. Elle peut être impériale et ensuite se mettre à chanter des chansons à boire, donc oui, c’est complexe mais c’est tellement elle.