À propos du Paladins en quelques mots:

Paladins est un jeu vidéo de tir à la première personne gratuit développé et publié par Hi-Rez Studios. Situé dans un monde fantastique où la technologie et la magie coexistent, Paladins permet aux joueurs de choisir parmi une variété de personnages avec des capacités et des styles de jeu uniques, allant des assassins agiles aux puissants chars. Le jeu propose plusieurs modes différents, y compris des combats en équipe, des défis basés sur des objectifs et un gameplay coopératif. Avec des mises à jour régulières et de nouveaux contenus, Paladins offre des heures infinies de gameplay excitant et dynamique.

Découvrez les personnages de Paladins

Atlas

Atlas, wow, il a l’air d’un chevalier futuriste qui serait tombé amoureux d’une locomotive — solide, droit, genre la colonne vertébrale du groupe. Il dégage cette aura de sérieux mélangé à un sens de l’honneur presque ringard, mais en vrai il rigole parfois aux blagues les plus nulles (véridique, je l’ai vu sourire une fois). Il aime les règles, les plans et… étrangement les gâteaux à la vanille, comme si ça calmait son armure. Parfois il parle comme un vieux manuel militaire, parfois il fait des clins d’œil débiles, bref il est à la fois formel et imprévisible; ça marche.

Barik

Barik, le petit génie bourru avec un cœur de fer (et des clous partout), il vit pour bricoler—et pour râler quand quelque chose n’est pas vissé. Il installe des tourelles comme d’autres plantent des fleurs, avec fierté et une playlist métal dans la tête; parfois il fredonne une berceuse à ses machines, oui oui, vraiment. Il est têtu comme une enclume mais étonnamment doux avec les mômes — et il tient vraiment à son tablier comme s’il s’agissait d’une relique. Parfois il boit du thé, parfois du whisky, et il vous regardera comme si vous aviez volé sa clé à molette si vous lui parlez pendant qu’il soude.

Cassie

Cassie, c’est la chasseuse légère, toujours en mouvement, un peu rebelle, toujours prête à taquiner tout le monde — genre la pote qui lance des défis pour le plaisir. Elle collectionne les plumes (vraiment, des plumes partout) et refuse de porter quelque chose de trop sérieux; elle aime la vitesse, l’air libre et, apparemment, les cupcakes à la fraise. Elle est adorablement impertinente mais attention, pas du genre à laisser tomber les autres; loyale à sa façon. Parfois elle se perd (oui, malgré son sens de l’observation), et parfois elle retrouve tout le monde avec un sourire en coin — je vous jure, c’est une machine à contradictions.

Khan

Khan, le pro protecteur, on dirait un général ralliant les troupes mais qui sait aussi raconter des histoires de taverne après le combat. Solide, imposant, paternel sans être gnangnan; il inspire confiance même quand il fait des blagues pas drôles (on rit quand même, par respect). Il tient à la discipline, mais adore un bon repas après l’entraînement — et je jure qu’il a une spécialité secrète de ragoût. Parfois il est implacable, parfois il vous serre la main comme un vieux copain, ce mélange fait que vous voulez le suivre n’importe où.

Tiberius

Tiberius, le type mystérieux et un peu théâtral — on ne sait jamais s’il médite ou s’il prépare un plan machiavélique (probablement les deux). Il a des airs d’inventeur excentrique, des lunettes qui coupent la lumière à moitié et un goût pour les expériences douteuses; en même temps il parle avec élégance, comme s’il récitait des vers. Il collectionne les montres de poche (ou c’est des boussoles ? je confonds toujours) et dit des phrases cryptiques qui font hausser les sourcils. Parfois froid, parfois passionné, il garde un petit côté dramatique qui le rend irrésistible — et un peu agaçant, mais dans le bon sens.

Androxus

Androxus, oh la classe noire incarnée, genre anti-héros sophistiqué avec une mauvaise journée éternelle. Il est sombre, vengeur, mais pas juste pour le fun — y a une douleur profonde là-dedans et ça transparaît dans chaque mouvement théâtral (il adore les monologues, ne le laissez pas parler trop longtemps). Il est extrêmement sûr de lui et, paradoxalement, a ce petit côté gentleman quand il veut perdre un duel proprement; il collectionne les épées antiques et les chapeaux improbables. Parfois cruel, parfois étonnamment noble, il se relève toujours avec ce sourire en coin qui dit « je savais que j’allais gagner ».

Sha Lin

Sha Lin, l’archer mystérieux — silence, précision, art du camouflage, et accessoirement poète à ses heures perdues (ça surprend toujours). Il vient du désert mais a cette aversion inexplicable pour le sable dans les chaussures — oui, il râle pour des détails minuscules, très humain. Il attend, observe, frappe au bon moment; parfois il fait des compliments très pompeux sur les couchers de soleil et vous vous demandez si c’était vraiment pour la vue ou pour la réplique. Parfois discret, parfois dramatique (il aime poser en ombre chinoise, je crois), mais toujours élégant.

Raum

Raum, la bestiole massive et un peu inquiétante, genre tombeau ambulant avec une élégance morbide — il a l’air d’être sorti d’un conte gothique. Il murmure des choses étranges, adore les énigmes et peut-être qu’il cultive des corbeaux (ou des posters de corbeaux, difficile à dire). Il est lourd, sérieux, et pourtant il a ce rire rauque qui surgit quand on s’y attend le moins; parfois il est philosophe, parfois il est juste un bulldozer avec des idées. Ah, et il a un tic bizarre pour les chandelles — les allume, les éteint, les collectionne? Je mélange peut-être, mais c’est ce qui le rend fascinant.

Makoa

Makoa, la tortue géante au grand cœur, marin bourru mais doux, on dirait un vieux capitaine qui raconte des légendes de mer à qui veut bien écouter. Il adore l’océan (et le bruit des vagues dans une tasse de thé, ne me demandez pas pourquoi) et tient à son bouclier comme à un trésor familial; sentimental, quoi. Il peut être glacial au combat mais en dehors il est du genre à ramener des souvenirs kitsch de ses voyages — coquillages, t-shirts douteux — et à les offrir avec fierté. Parfois sérieux comme une tempête, parfois maladroit avec un sourire de parfait nounours marin; on l’aime forcément.

Zhin

Zhin, showman flamboyant et maître-épéiste, toujours sûr de lui comme s’il sortait d’un opéra, avec une touche de casino (parie sur tout, même sur les blagues). Il manie l’acier avec poésie, adore l’honneur mais a ce côté « je suis le meilleur » qui énerve tout le monde — et il le sait, et il adore ça. Il a des manières théâtrales, un rire trop fort et une passion inexplicable pour les fleurs (oui, il offre des roses; non, je ne sais pas pourquoi). Parfois cruel, parfois protecteur, souvent arrogant; mais bordel, c’est stylé.

Terminus

Terminus, la masse implacable qui vous donne l’impression qu’on peut construire une maison sur son dos — lourd, puissant, presque invincible et pas très bavard. Il est stoïque, sombre, et a cette aura de ruine ancienne; on dirait une forteresse qui marche, littéralement. Paradoxalement il collectionne des choses tendres (dessins d’enfants? petits cailloux?), donc sous la carapace il y a peut-être quelque chose de… sentimental? Parfois bulldozer, parfois nounours timide; tout dépend si vous êtes de son côté ou pas.