À propos du Hawkeye en quelques mots:

La série télévisée Hawkeye de Marvel suit les aventures de Clint Barton, un ancien Avenger, et de sa protégée Kate Bishop alors qu’ils s’associent pour affronter le monde criminel de New York. Remplie de séquences d’action palpitantes et de dialogues spirituels, la série explore les complexités du personnage de Clint et présente aux fans un nouveau héros sous les traits de Kate. La série présente également des visages familiers de l’univers cinématographique de Marvel, en faisant un incontournable pour les fans de la franchise.

Découvrez les personnages de Hawkeye

Hawkeye

Clint, c’est l’archer fatigué mais génial, le type qui a vu trop de choses et qui s’en moque en même temps — il blague pour cacher qu’il est blessé (physiquement ET émotionnellement). Toujours prêt à sortir une flèche improbable d’un sac qui ressemble à un placard à chaussures, et bizarrement il a une collection de tasses à café qui dit tout sur lui. Il a ce côté « papa grincheux » mais qui te ferait traverser la ville pour une pizza, et pourtant il reste étonnamment zen quand tout part en vrille. Sérieusement, il déteste les projecteurs mais sera le premier à saupoudrer du chaos sur le salon si on le provoque.

Kate Bishop

Kate c’est la petite tornade super ciblée — débordante d’énergie, avec une confiance qui frôle parfois l’arrogance mais en vraie, elle panique un peu à l’intérieur (du moins souvent). Elle est hyper débrouillarde, improvise comme une pro, et garde des listes secrètes (oui, des listes!) pour tout, même pour ses plans de secours absurdes. Fan de comics et d’escrime verbale, elle peut être adorablement immature un instant et d’une détermination glaciale l’instant d’après. Ah et elle garde toujours un half-smile de « je t’ai eu », même quand elle est toute couverte de poussière — héroïne en formation, genre superstar impolie.

Jack Duquesne

Jack, le type élégant — costume impeccable, épée/arme/ouais il sait manier les trucs anciens, et il parle comme si chaque phrase était une citation d’un roman (bon parfois il l’est un peu). C’est tout à la fois charmeur, sarcastique et vaguement tragique; il donne l’impression de contrôler la situation même quand il perd totalement pied (un classique). Il a ce petit côté mentor décalé mais on se demande souvent s’il joue son propre rôle ou s’il improvise un rôle dans sa tête. On dirait quelqu’un qui collectionne des montres antiques mais oublie parfois où il a mis ses clés.

Kazi

Kazi est gros, imposant, dangereux et étonnamment sentimental — genre tu t’attends à un gars sans cœur et paf, il a une faiblesse pour une vieille chanson ou un animal domestique imaginaire (je jure que parfois il fredonne). Chef de sa petite bande, il inspire la loyauté (ou la peur), planifie froidement et frappe encore plus froidement; mais il n’est pas que brutalité, il est rusé et a un sens de l’honneur baroque. Il adore les choses simples aussi (peut-être un vieux manteau fétiche? peut-être un chapeau?), et sa loyauté peut devenir une vraie épée à double tranchant. Bref, imposant mais avec des petites failles humaines qui le rendent imprévisible.

Ivan

Ivan, le géant silencieux — sérieux, t’as l’impression qu’il a toujours une expression scandinave sur le visage et qu’il calcule tout, même la météo. Il parle peu, frappe fort, mais parfois tu vois une étincelle d’humour mal placé (genre il rigole au mauvais moment) et ça te casse tout. Il donne l’impression d’un robot avec un coeur (parfois plus métallique qu’autre chose), et j’ai envie de croire qu’il sait tricoter — oui, je sais, c’est bizarre, mais je l’imagine avec une écharpe faite main. Il est fiable comme un marteau mais parfois complètement inadapté socialement, ce qui est étrangement mignon.

Tomas

Tomas, petit paradoxe ambulant — calme comme un lac la plupart du temps, mais quand il s’énerve c’est sérieux, pas de facéties. Il a une loyauté presque adolescente, protecteur sans trop en faire, tu sens qu’il a été forgé par des choses dures mais qu’il garde une gentillesse presque naïve (ou peut-être juste stoïque, je sais plus). Il ressemble au type qui préparerait des pancakes à 3h du matin pour te remonter le moral et te botter le cul juste après si tu l’as mérité. Il y a des jours où il est totalement effacé, puis pouf, protagoniste — toujours un peu mystérieux, et j’aime ça.

Laura Barton

Laura, la meilleure preuve que la domesticité peut être badass — calme, terre-à-terre, mais ne sous-estimez jamais la dame qui sait ce qu’elle fait. Elle a ce charme tranquille de « mère de famille qui a survécu à des trucs bizarres », cuisine des plats réconfortants et te regarde avec ce sourire qui met tout le monde à sa place (y compris Clint, oui, même lui). Je jure qu’elle cache des anecdotes folles et qu’elle a probablement un plan B, C et D pour toute situation, tout en courant parfois après les enfants comme une humaine normale. Sérieusement, elle est douce mais pas naïve — elle sait quand sortir la poêle, et ça, c’est puissant.