À propos du The Kominsky Method en quelques mots:

The Kominsky Method est une série comique-dramatique de Netflix créée par Chuck Lorre qui suit l’histoire d’un acteur vieillissant et de son ami agent de talent alors qu’ils naviguent dans leur vie à Los Angeles. La série explore des thèmes tels que l’amitié, le vieillissement et les luttes qui accompagnent la recherche du succès à Hollywood. Avec un casting de stars comprenant Michael Douglas et Alan Arkin, The Kominsky Method est une série hilarante et émouvante qui a captivé des audiences du monde entier.

Découvrez les personnages de The Kominsky Method

Sandy Kominsky

Sandy, oh mon dieu, Sandy c’est ce mélange d’ironie toxique et de cœur trop grand qui explose à la figure — il parle comme s’il racontait une blague qui voudrait être tragédie. Il a été acteur, il est coach d’acteurs, il se plaint tout le temps des jeunes et puis il les adore secrètement (ou pas si secrètement). Il boit du whisky comme si c’était une habitude saine et il oublie parfois un anniversaire mais jamais une réplique — logique interne très personnelle. Il est à la fois désabusé et incapable d’abandonner l’espoir, genre vieux romantique qui met du gel dans les cheveux. Parfois il est affreusement égoïste, parfois il appelle au milieu de la nuit pour consoler quelqu’un; on ne sait jamais vraiment sur quel Sandy on va tomber, et c’est pour ça qu’on l’aime.

Mindy Kominsky

Mindy, la fille turbulente et brillante — elle gère sa vie comme un business plan improvisé mais hyper efficace (toujours sur son téléphone, toujours en retard, mais elle arrive). Elle est directe, franche, et un peu théâtrale, avec un sens du timing comique qui tue; elle peut vous dire la vérité en robe de soirée ou en pyjama, selon l’humeur. Elle est indépendante et puis, bizarrement, dépendante des émotions des autres — contradiction classique, oui, mais touchante. Elle collectionne des plantes qu’elle oublie d’arroser et garde des photos d’enfance comme si c’était des trophées, très humain. On sent qu’elle a des rêves de grandeur mais qu’elle préfère faire rire ses proches, ou du moins les pousser à se bouger, ce qui est adorablement borderline.

Jude

Jude, ah, Jude est ce type à la fois calme et un peu perdu, créatif sans vouloir l’admettre, toujours avec une idée de projet en tête qui ne voit jamais complètement le jour. Il réfléchit beaucoup, parle peu, mais quand il parle on se dit « oh, c’est pas bête », et puis il se remet à hésiter — éternel indécis charmant. Il a des petites manies bizarres, genre trier ses chaussettes par humeur, et il est vaguement prétentieux sur son goût musical, ce qui le rend drôle. Il est doux mais pas sentimental, enfin pas toujours, et parfois il disparaît pour écrire et revient comme si de rien n’était. On sent qu’il cherche sa place, qu’il essaie de se définir, et que ça le rend humainement… captivant.

Margaret

Margaret est la femme qui semble toujours savoir ce qu’il faut dire mais choisit parfois de ne rien dire, politique très stratégique — ou paresse, on n’est pas sûr. Elle peut être carrément dure (oh oui) et puis fondre en quelques secondes devant un animal ou un bon film, contradiction adorable. Elle a ce rire un peu rauque qui arrive quand on s’y attend le moins et des opinions très arrêtées sur la décoration intérieure — parfois elle aime le minimalisme, parfois elle adore les coussins partout, dépendant du jour. Elle est loyale, parfois mystérieuse, et garde des secrets comme d’anciennes cartes postales dans une boîte sous son lit. On sent qu’elle a vécu des choses et qu’elle porte ça avec une élégance parfois maladroite, bref, personnage riche.

Darshani

Darshani, je l’imagine zen mais pas ennuyeuse, genre yogi des temps modernes qui en réalité mange des frites à minuit — on veut la snatcher pour sa sagesse et son humour. Elle parle souvent comme si elle expliquait un mantra et puis elle lâche une vanne qui n’a rien à voir, et bam, on éclate de rire. Elle est empathique, attentionnée, et secrètement compétitive sur des trucs improbables (genre trivia télévisé), donc surprise totale. Parfois elle est sérieuse comme une guru, parfois elle envoie des memes à 3h du matin, donc impossible de s’ennuyer. Elle semble posée mais garde une petite étincelle espiègle; on aimerait bien être son/sa meilleur(e) ami(e) ou au moins son/sa coloc.

Lane

Lane est cette personne douce et un peu timide qui a pourtant des opinions bien tranchées sur la musique indie et les sandwiches, c’est fascinant. Elle se perd parfois dans des détails (les étiquettes, les recettes) mais a eu des moments de bravoure surprenants — oui, elle sait se lever quand il faut. Elle sourit beaucoup et parle bas, sauf quand elle est énervée, là elle devient étonnamment verbale; dualité très intéressante. Elle collectionne des tasses de café bizarres et croit aux signes (parfois trop), ce qui lui donne un côté mystérieux mais accessible. On la sent volontairement fragile, mais elle a une force tranquille qui finit toujours par transparaître, je vous jure.

Norman Newlander

Norman, c’est le classique vieux grincheux mais avec un cœur énorme planqué sous plusieurs couches de sarcasme — Alan Arkin style, tu vois le genre. Il râle sur tout: les jeunes, la médecine moderne, la décadence, et en même temps il t’offre un sandwich quand tu vas mal; très pratico-emotif. Il a des principes qui semblent d’un autre siècle et pourtant parfois il fait preuve d’une modernité surprenante, genre il envoie des textos charmants, ou il oublie comment utiliser la télé (contradictoire). Il est loyal comme pas permis, mais il te dira d’aller te faire voir en te prêtant de l’argent; attitude très ambivalente mais honnête. Il collectionne des blagues grinçantes et garde des photos de famille embarrassantes comme trophées sentimentaux, c’est adorablement humain.

Lisa

Lisa, elle a l’air polie et organisée et puis paf — elle balance une phrase qui te remue et tu réalises qu’elle est beaucoup plus complexe. Elle travaille ses relations comme on polit un bijou: beaucoup d’attention, parfois un petit coup de lime, et toujours à la recherche de brillance. Elle peut être douce ou tranchante selon l’urgence émotionnelle, et cela la rend imprévisible (dans le bon sens). Elle adore les brunchs tardifs mais prétend détester le sucre, contradiction alimentaire très relatable. En somme c’est quelqu’un de fiable mais qui garde une part d’ombre, assez fascinant pour qu’on veuille en savoir plus.

Phoebe

Phoebe est pétillante, un peu bohème, comme si elle avait lu tous les romans d’un coup et décidé d’en faire une haine de vivre très stylée. Elle parle fort, rit fort, et parfois elle pleure fort — c’est l’émotion sans filtre, souvent contagieuse. Elle est créative, imprévisible, parfois immature dans ses choix mais toujours sincère, et c’est ce qui la rend irrésistible. Elle a des rêves un peu fous et garde un carnet secret avec des listes de voyages et de chansons — parfois elles restent des listes, parfois non. On a l’impression qu’elle vit à 150% et que c’est joyeux, épuisant et merveilleux tout à la fois.

Theresa

Theresa, c’est la force tranquille qui n’a pas besoin de crier pour se faire respecter, elle s’installe et tout le monde s’organise autour d’elle naturellement. Pratique, méthodique, elle sait aussi quand lâcher prise (parfois) et a un humour très sec qui surprend toujours. Elle peut sembler sévère au premier abord mais elle est incroyablement protectrice — très maternelle sans être envahissante. Elle a des routines immuables (ou presque) et des petites folies secrètes, genre collectionner des stylos spéciaux, ce qui la rend à la fois fiable et légèrement mystérieuse. Au fond, elle est le genre de personne dont on veut une place dans la vie: stable, honnête, indispensable.

Breana

Breana, c’est la jeune pousse pleine d’énergie, hyper connectée, elle parle en GIFs et en références que tu dois googler après la conversation — et c’est excitant. Elle est ambitieuse mais parfois un peu naïve, elle croit qu’on peut tout changer en trois étapes et un podcast; c’est adorablement optimiste. Elle apprend vite, pose des questions gênantes et remet en cause les habitudes avec un sourire, parfois sans filtre (oops). Elle garde une collection de badges et de photos Polaroid, très vintage-new-age, contradiction esthétique top. Bref, elle est la tempête de nouveauté dont tout le monde a besoin et parfois la personne qui te rappelle que oui, il faut aussi dormir.